La ruée vers l’or

Le film

Tout le monde a assisté au moins une fois dans existence à la projection de ce grand classique avec des acteurs aux rôles mémorables.

En faite, il y en avait un seul, il s’appelait Charline Chaplin On en train de faire un remake de la chose et c’est regrettable.

ruee-or

On ne répétera pas assez, la vie est une grande scène ouverte. On est en train d’assister à la ruée en France. On invite le lecteur a aller passer ces vacances dans une capitale Africaine, prés du peuple et non pas dans un de ces village de vacances aseptisée ou encore dans un voyage organisé ou il faut suivre le guide comme un troupeau suit son berger. Et alors, vous découvrirez l’envie profonde des autochtone.

Le spectacle de la France

Voici ce qu’aimerais la majorité des Africains : envoyer un membre de leur famille en France. Pour pouvoir en faire venir d’autres. Et que font les médias, relaye-t-il les pensées profondes de l’autre coté de la méditerranée. Hélas non. Tout au contraire, on projette de faite voter les immigrés. C’est un appel de klaxon puissant qui signifie, venez encore chez nous, il y a de la place.

On assiste à cette migration en tant que spectateur

La France donne de l’argent aux nouveau venu et c’est normal que certains en ont marre. Ras le bol de payer des impôts à plus de 75 pour cent disent certains individus qui travaillé dur. Et on rejoint tout à fait l’acteur Depardieu qui a décidé de partir en Belgique. On l’applaudit des 2 mains. Il réagit à sa façon, certains hommes disent que c’est de la lâcheté.  Non, il a parfaitement bien fait et son action, cette fois-ci est relayée par les médias. Alors que grogner tout seuil dans son coin en disant :  « c’est débile » et de continuer à engraisser des gens d’autre pays en continuant à payer.

Bonne initiative Gérard et continue, surtout n’arrête pas si près du but. Ton spectacle va faire boule de neige et comme acteur, tu as parfaitement bien joué ton rôle de monsieur « remue merde ». Comme dans toutes les fermes, il faut de tout pour faire fonctionner la société.