Le directeur dort avec l’imprimeur

On est en droit de se demander si le responsable de cet organisme qui a pris l’appellation de GUSO partage le même oreiller que le chef de l’imprimerie.

Oui, on veut parler de celui qui imprime les feuillets de déclaration, qui marque l’adresse et par la même occasion les envoie ensuite à la personne qui engage un intermittent du spectacle.

On se pose cette question car les petites associations qui exceptionnellement font appel à un intermittent du spectacle pour, par exemple leur gouter de noël reçoivent une grosse enveloppe avec un minimum de 7 déclarations uniques et simplifiées accompagnées d’autant de feuillets d’embauches (un poids d’environ 500 grammes). Alors qu’elles ont besoin d’un seul exemplaire.

Et que l’année prochaine vue la complexité de ces paperasses, elles feront appel à un artiste retraité travaillant au noir.

Alors pourquoi n’avoir pas la possibilité de commander une seule déclaration ? Si ce n’est un copinage certain entre ces deux personnes !

La poste à son rôle

On oublie un personnage, ils font peut-être ça à trois. Il paraît que c’est la mode. Le troisième personnage est bien sur le responsable d’expédition de la poste. Il doit se frotter les mains lorsqu’il doit voir arriver ces kilogrammes de papier prêt à être embarqués. La facture qu’il leur présenter doit être salée.

Et si c’était une partouze à quatre ?

Puisqu’on est dans le plein délire, il y a aussi le ramasseur de poubelles, s’il ne ramassait que des caisses vides, il serait au chômage. Donc merci aux artistes du spectacles qui lui trouve du travail. C’est un peu la chaine alimentaire ce truc là.

Mais pour en revenir au sujet, un association change régulièrement de présidence et on fait souvent le ménage entre les tours, on vide les placards, on se débarrasse de la paperasse. Donc ces enveloppes remplient  de feuillets, elles se retrouvent bien tôt ou tard dans un conteneur d’ordure.

Pas beau, le Guso dans ce coup-là, et si c’était la seule fois. La suite au prochain épisode. Car on ne va pas parler des particuliers qui eut reçoivent 3 déclarations et qui ne font qu’un spectacle tout les dix ans et encore, s’ils ne reçoivent pas de propositions de l’artiste à leur premier spectacle pour un  règlement en espèce.

Alors, monsieur le directeur du GUSO, l’imprimeur était à la hauteur de vos espérances au lit ?